Deux hommes prestigieux avaient déjà, en leur temps, salué les oeuvres d’Hélène de Laage:

le duc de Castries et Georges Muguet, élève d’Antoine Bourdelle, qui fut le maître d’Hélène.

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« Encore toute enfant, à l'époque de la classe de quatrième, Hélène de Béarn, placée près d'une fenêtre d'école où elle travaillait à Toulon et où l'on remplaçait des vitres détruites par un bombardement, découvrit dans le mastic un matériau de choix et elle aligna sur son pupitre une armée de figurines qui révélaient déjà tout ce qui marquera sa carrière d'artiste: figuration des sentiments et recherche de l’essentiel.



Hélène se mit au travail, étudia l’anatomie, dessina des formes et des corps, fréquentant les meilleurs ateliers parisiens, notamment la Grande Chaumière et l'atelier de Paul Colin. Elle fut l'élève assidue de Jeannine de la Personne; celle-ci travaillait dans un petit atelier niché au pied de la butte Montmartre; ce fut là qu'elle apprit le choix des terres et leurs techniques de travail.


A l'atelier de Del Debbio, elle s'initia au travail plus malaisé de la pierre et pénétra les techniques de la mise au point.


En 1948, elle rencontra pour la première fois Georges Muguet, lui-même disciple de Bourdelle, qui devait être véritablement son maître et marqua profondément son talent. Devenue une de ses élèves préférées, il la fit collaborer à ses propres travaux, notamment au grand monument qui orne le plan d'eau de Neuvic d'Ussel, aux chapiteaux relatant la vie de Jeanne d'Arc à l'église de Gien ainsi qu’aux pilastres de cette église.


Puis ce fut la collaboration au moulage du Grand Cerf au Brame du Musée de la Chasse à Gien et aux sculptures qui ornent la façade de l'église Saint-Ferdinand-des-Ternes ». (Le duc de Castries, de l’Académie Française)

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